Revues prédatrices et revues de faible qualité

Les revues prédatrices sont des revues qui privilégient le profit (via le paiement d'APC par les auteurs) au détriment de la qualité des publications (faible peer-reviewing faible, voire inexistant). Elles présentent un risque pour les auteurs et pour la recherche en général (qualité des publications, intégrité scientifique).

A leur apparition au début des années 2000, l'identification de ces revues étaient très simple. Désormais, elles sont de plus en plus complexes à repérer, car elles évoluent et s’adaptent pour avoir l’air de revues sérieuses.

Par ailleurs, certaines revues peuvent avoir des pratiques douteuses, sans être pour autant frauduleuses, on parle alors de "revues de la zone grise".

Identifier le spectre de pratiques prédatrices :
(cliquer sur l'image pour agrandir)

Source : « Combatting Predatory Academic Journals and Conferences ». Consulté le 9 janvier 2025.

Outre les revues prédatrices, il existe également des conférences prédatrices. Celles-ci reposent sur le même principe mercantile : réaliser des profits en proposant des conférences de faible qualité.

Découvrir comment éviter les conférences prédatrices grâce à la CoopIST

En savoir plus sur les conférences prédatrices via la NTU Library (en anglais)

 

Une ressource en ligne pour identifier les conférences prédatrices :